Grand Cru blanc de la Côte de Beaune, le Corton-Charlemagne vit quelque peu dans l’ombre des Montrachets et autres Grands Crus de Puligny et Chassagne…
Afin d’explorer ses multiples facettes, PHUSIS a proposé, le 14 avril dernier, une soirée qui lui était entièrement consacrée. Et ce, principalement sur des millésimes à l’évolution. Grande surprise : aucun vin n’était véritablement sur la pente descendante (ce qui est remarquable au vu des millésimes dégustés).
Liste des vins avec, en face de chaque vin, un mot qui lui correspond bien…
Pouilly-Fuissé 2009, Clos Varambon, Château des Rontets | envinage
Corton-Charlemagne 1995, Louis Latour | opulent
Corton-Charlemagne 1991, Bonneau du Martray | frais
Corton-Charlemagne Vieilles Vignes 1994, Verget | serré
Corton-Charlemagne 1994, Bonneau du Martray | aérien
Corton-Charlemagne 1997, Verget | minéral
Corton-Charlemagne 1997, Bruno Clair | filiforme
Corton-Charlemagne 1999, Bonneau du Martray | miel
Corton-Charlemagne 1998, Bruno Clair | délié
Corton-Charlemagne 1998, Bouchard Père et Fils | austère
Corton-Charlemagne 1998, Domaine Leroy | tellurique
Corton-Charlemagne 2000, Ambroise | rustique
Corton-Charlemagne 2005, Chevalier Père et Fils | suave
Corton-Charlemagne 2008, Pavelot | tonique
Corton-Charlemagne 2008, Roumier | délicat
Corton-Charlemagne 2008, Bonneau du Martray | puissant